I’m a Boomerang-man

Moi et un boomerang : je lance la chose très loin (je ne mesure pas ma force)… je le perds de vue… et il me revient dans la gueule sans que je ne le voie venir. Oui, je suis un cas désespéré pour les armes de jet… et ben avec les mecs c’est pareil. Enfin non, pas pareil, dans le sens où je ne pense pas être un cas désespéré quand même ^^

Comme une poêle Tefal (qui ne colle pas), le Tonton ? Il pense ne pas attacher… et malgré les paroles définitives (on ne dit pas que j’ai un sal caractère mais que j’ai du caractère), le temps qui passe (et il file, même), les histoires d’entretemps (mais où est passée cette liste de noms, bon sang !), il y en a qui reviennent. Une drogue alors ? Leur retour ne serait-il dicté que par un manque plus ou moins mal contrôlé ? Non… ou alors je suis totalement immunisé à la drogue que je distille.

Ou un repère ? Un asile ? Je ne me vois pas en responsable de chenil de la S.P.A. mais parfois cela y ressemble : « Héberge des chiens paumés sans collier, le temps qu’ils se retapent » ?

Un effet de saison ? Comme les hirondelles, les mecs reviennent au nid après une longue migration hivernale ? … Peut-être devrais-je les marquer afin de vérifier cette théorie. Et quant à l’endroit où leur incruster la puce-espionne qui me permettrait de les pister, j’ai bien quelques idées.

Dans ces cas-là… on se dit : « Te casse pas la tête, gamin et profite »… et c’est ce que je fais…

Bonne journée !